Dans son bilan médiatique le maire de Béthune révèle à notre quotidien favori qu'il a menti de 2008 à 2013 aux béthunois sur le fonctionnement de la majorité municipale. Que l'image idillyque vendu par le service communication de la ville, notamment dans les bulletins municipaux, étaient une pure invention. Comme les trompeuses conférences de presse. Les journalistes n'y ont vu que du feu. Que la municipalité étaient paralysée par une guerre intestine et clanique. Donner l'illusion était la seule complicité entre le maire et son premier adjoint.
Extrait: "Stéphane Saint-André et Olivier Gacquerre se sont unis le soir du premier tour des élections municipales mais leur alliance a été mouvementée jusqu'à la rupture qui s'est manifestée par le vote contre le budget des élus de Béthune notre ville. Un vote contre qui a entraîné la perte de leurs délégations, pas de leur poste d'adjoint car le conseil municipal en a décidé autrement. «Je ne regrette pas d'avoir divorcé, analyse à froid le maire qui ne mâche pas ses mots. Nous avons vécu pendant cinq ans et demi l'enfer. Ça n'a été que coups bas et chantage. Les gens ne savent pas quart du tiers de ce que j'ai vécu. Moi, je travaille avec l'équipe. J'assume le bilan, le bon comme le mauvais, à l'inverse de ce garçon.»".Peut on encore leur accorder le moindre crédit à l'un comme à l'autre ? Faut-il croire la promesse du maire: «La pression locale est avérée. Je m’engage à ce qu’il n’y ait pas de nouvelle hausse sur le prochain mandat». Pourtant, Olivier Gacquerre et Stéphane Saint André, la main sur le coeur, nous affirmaient que les impôts n'avaient pas augmenté à Béthune.....
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